Pour les adeptes de la raison pure, au-delà de cette limite, vos pensées ne sont plus valables...

- Sans vertu aucune action, si vouable et admirable puisse t'elle paraître, ne peut être juste, car, la justice elle-même est du ressort de la vertu -

Qui suis-je ?

Fleur de vie

suis-je ou tu es ?

Quand je t'admire, je ne vois que le meilleurs de ce qui est en moi !
Lorsque je te déteste, ce n'est que la face obscure caché en moi !
Qui de toi ou moi, est le meilleurs ?
Le je du jeu, dis que c'est moi et le moi me dis, que c'est le jeu qui est en toi !
Mais, alors qu'elle est la règle, de ce jeu qui sème la con-fusion ?
La con-fusion, me dis que je suis confus en moi, puisque être l'autre ou en fusion avec lui c'est la même chose.
Or, cette chose, me dis que, en tant que chose, elle n'est pas définit, donc, ne sait pas ce qu'elle est, que faire ?
Me définir !? Oui, mais en rapport avec quoi ou qui ?
Suis-je qu'une chose, l'objet d'un désir ? Non, me répondit fermement mon être, tu es l'être que je suis !
Donc, après le je, le moi, main-tenant, je suis (suivre), c'est de la schizophrénie !?
Mon être, plein d'empathie, me répondis que je suis et que je suis une voie, et que cette voie n'est viable que si j'écoute la voix.
La voix, me dis mon être, c'est le moi qui par je (jeu), s’ Âme-use à se connaître.
Par con-naître, c'est l'être née avec science, une science infuse, que l'on désigne par con-science, waouh...ou suis-je ?
Tu suis une voie me répondit de nouveau l'être, c'est pour cela que tu es !
Tuer, mais je ne suis pas un assassin, ma morale me l'interdit...
MOn être de rajouter, qu'il faut tué mon toi, pour que la lumière pénètre en mon moi !
Que mon toi, n'est autre que le toi-t qui sert à protéger l'être que je suis.
L'être que je suis, n'est autre que le moi qui se reflète sur le toi-t qui me recouvre et me protège du jeu.
Il suffirait d'ôter le toit, pour que le moi se révèle à travers le toi par la lumière qui te traverse et m'éclairera sur ce que je suis.
Le présent m'est claire par la grâce d'un toi, qui n'est autre que moi, vue par l'envers de la voie et s'éclaire en moi.